Pour conserver des
finances saines, on ne fit venir que les seuls LIRON (Sochaux), LUBIATO
(Bordeaux), LEONETTI et MATZKI (Toulon) et on accorda toute la confiance aux
PROVELLI, BALAGUER... et autre KOCIK.
Les dirigeants avaient eu
raison, car en quelques mois Louis PROVELLI allait s’affirmer comme un des
meilleurs arrières-centraux de France.
Comme KOCIK prouva
lui-aussi en fin de saison, sa grande classe naissante, comme BAULU,
libéré du service militaire s’imposa définitivement, avec le maître à
jouer qu’était STAKO, tout alla mieux pour le club qui termina à la 13e
place avec 36 points.
C’est grâce à sa
quasi invincibilité à domicile que le club parvint à améliorer ainsi son
classement. En effet un seul club, LIMOGES, parvint à le battre au stade
Nungesser (après 13 victoires à domicile) et les plus grands de l’époque
(NICE, NIMES, le RACING et SOCHAUX) y connurent l’amertume de la défaite ou
au moins du match nul.
Par contre l’unique
victoire à l’extérieur fut acquise à TOULOUSE et quatre matches nuls
donnèrent à VA avec les deux points de cette victoire, les seuls six points
gagnés en déplacement.
Trente points au stade
Nungesser, six points à l’extérieur, avec 36 points, VA finissait à la 13e
place et on commençait à se rassurer pour son avenir.
Mais déjà, sous le
manteau, on parlait du départ de l’inégalable STAKO.
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