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HÉLAS, EN 1960-61, C’ÉTAIT LA DÉSILLUSION ET V.A. REDESCENDAIT EN SECONDE DIVISION.

Cette saison-là, au moment même où VA faisait preuve d’un bel équilibre, (...) une grande désillusion allait refroidir tout le monde jusqu’à l’issue du dernier match, VA, ne laissant derrière lui que TROYES, allait redescendre en Seconde Division.

Comment expliquer cette déchéance alors que l’équipe était à peu de chose près la même que celle qui, la saison précédente, avait terminé à la 8e place ?

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Car le départ de DEVLAEMYNCK avait été compensé par l’arrivée de CISOWSKI et de GUILLON. Il est vrai que CISOWSKI n’était plus le grand joueur qu’il avait été dans l’équipe de France (...), il était devenu bien trop lent pour pouvoir s’intégrer à l’équipe.

Ce qui fit que VA perdit beaucoup trop de matches sur son terrain (9 exactement), concédant de surcroît 3 matches nuls sur les 19 rencontres que le club disputa.

Quelles avaient été les raisons de cette subite déchéance ? Était-ce le manque de cohésion ? Ou bien le manque d’énergie collective ? Un peu des deux sans doute et surtout l’abondance des blessures ou périodes de maladie survenues à certains, sans oublier la présence sous les drapeaux de PIUMI et BONNEL, qui empêchèrent l’entraîneur d’avoir une équipe constante (...).

En Coupe de France, les résultats ne furent guère plus éclatant puisque, après s’y être repris à deux fois pour éliminer LE HAVRE (3-3 puis 3-1), VA était sorti par SAINT-ETIENNE au tour suivant (1-0) sur le terrain de Nantes.

La Coupe Drago ne réussit pas mieux aux Valenciennois, pas plus que la Coupe de l’Amitié dans laquelle, après une première victoire sur Dundee (1-0 à Mers), le club échouait outre-Manche, battu 4-2.

Que faire, dans ces conditions, sinon accuser l’entraîneur Robert DOMERGUE (...) mais (il) garda sa place (...).