Car le départ de
DEVLAEMYNCK avait été compensé par l’arrivée de CISOWSKI et de GUILLON. Il
est vrai que CISOWSKI n’était plus le grand joueur qu’il avait été dans l’équipe
de France (...), il était devenu bien trop lent pour pouvoir s’intégrer à l’équipe.
Ce qui fit que VA perdit
beaucoup trop de matches sur son terrain (9 exactement), concédant de surcroît
3 matches nuls sur les 19 rencontres que le club disputa.
Quelles avaient été les
raisons de cette subite déchéance ? Était-ce le manque de
cohésion ? Ou bien le manque d’énergie collective ? Un peu des
deux sans doute et surtout l’abondance des blessures ou périodes de maladie
survenues à certains, sans oublier la présence sous les drapeaux de PIUMI et
BONNEL, qui empêchèrent l’entraîneur d’avoir une équipe constante (...).
En Coupe de France, les
résultats ne furent guère plus éclatant puisque, après s’y être repris à
deux fois pour éliminer LE HAVRE (3-3 puis 3-1), VA était sorti par
SAINT-ETIENNE au tour suivant (1-0) sur le terrain de Nantes.
La Coupe Drago ne réussit
pas mieux aux Valenciennois, pas plus que la Coupe de l’Amitié dans laquelle,
après une première victoire sur Dundee (1-0 à Mers), le club échouait
outre-Manche, battu 4-2.
Que faire, dans ces
conditions, sinon accuser l’entraîneur Robert DOMERGUE (...) mais (il) garda
sa place (...).
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