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SANS PLUS ATTENDRE V.A. REMONTE PARMI L’ÉLITE PROFESSIONNELLE (1961-62).

Faisant confiance aux jeunes et modifiant le moins possible son équipe, l’entraîneur DOMERGUE allait donc infliger à ses détracteurs un camouflet de taille puisque, dès la fin de la saison, VA, terminant à la seconde place du championnat du Deuxième Division (...) retrouvait sa place à l’étage supérieur.

Les départs de CYSOWSKI, CAUWELIER et LEGRAND avaient été compensés par les arrivées de KELLER, MAYET et GUINOT (...).

SCHAEFFER était le gardien : il disputa 31 matches de championnat sur les 36 de la saison.

Les arrières latéraux étaient MAYET et MATZKY (...).

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Au centre de la défense se trouvaient PUCCAR ou PIUMI (au n°4) pendant que PROVELLI (24 rencontres) et MARKIEWICZ (12 matches) portaient le n°5. Bolec KOCIK joua 33 fois son rôle de relayeur, le second poste de milieu de terrain étant tenu alternativement par BONNEL (25 fois) et MAKOWSKI (21 fois).

Quant à la ligne d’attaque, elle était composée de Jean-Pierre GUINOT (29), KELLER (29), MASNAGHETTI (33) et LUBIATO (19), bientôt remplacé par GUILLON (18).

(...)La défense n’avait-elle pas concédé que le chiffre remarquable de 30 buts en 36 matches, se classant meilleure de toutes. Et l’attaque, avec 59 buts marqués n’avait-elle pas fait preuve d’une belle efficacité (...). MASNAGHETTI, avec 23 buts remporta le titre de meilleur buteur de la division.

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Pourtant la réussite était moins bonne dans les différentes coupes (...)

Au cours de la saison, VA avait prouvé qu’elle était devenue une équipe constante (...), appliquant la nouvelle méthode du 4-2-4 et surtout possédant une pléiade de jeunes de grande valeur (...) : GUINOT, BONNEL, MASNAGHETTI, PIUMI, PROVELLI, GUILLON, KOCIK... et autre CORDIER.

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